Quand l’infini nourrit le rêve

L’univers n’est pas seulement grand, sa taille dépasse l’entendement et chacun de ses corps célestes qu’il soit une comète, un astéroïde, une planète ou même une étoile, ne représente qu’une goutte d’eau dans un océan. Un océan infini, dont l’horizon se repousse sans cesse, invitant l’imagination à errer librement parmi des mondes insoupçonnés et des galaxies lointaines, où le temps et l’espace se confondent dans une danse éternelle. Chaque constellation, chaque nébuleuse, offre un fragment d’éternité, un écho d’un passé ancien ou d’un avenir inexploré, rappelant que la beauté de l’univers réside autant dans ses mystères que dans sa lumière.

Mais derrière cette immensité sans nom, se cache une force qui n’a pas permis que tous ces secrets soient dévoilés, auquel cas, nous perdrions ce qui fait de nous des êtres capables de créer, d’imaginer, de s’évader…La vie n’aurait plus de sens.

Et si le soleil disparaissait sans jamais réapparaitre?

Et si l’impensable se produisait ? Si le Soleil disparaissait soudainement, plongeant la Terre dans une obscurité sans fin ? Un scénario impossible selon nos lois physiques, et pourtant… Avez-vous déjà envisagé les conséquences d’un tel cataclysme ? Combien de temps notre monde pourrait-il encore survivre ?

Huit minutes et vingt secondes. C’est le temps qu’il nous faudrait pour réaliser l’ampleur du désastre, le temps exact que met la lumière à parcourir la distance entre le Soleil et la Terre.

Après sa disparition, ce serait le chaos absolu. D’abord, des tempêtes titanesques secoueraient l’atmosphère, provoquées par les écarts de température extrêmes entre les différentes couches de l’air. Puis, un froid glacial et implacable s’installerait, rendant toute adaptation impossible. Les températures chuteraient inexorablement, transformant notre planète en un tombeau de glace.

Dans le livre Nuit éternelle : chroniques d’un monde sans soleil, j’explore cette descente aux enfers à travers le destin de quelques survivants prêts à tout pour échapper à l’inévitable. Un univers sombre, oppressant, où chaque instant devient une lutte désespérée contre la mort.

Dans l’image ci-dessous, on découvre une représentation saisissante de la situation : un paysage froid et glacial, une ville désolée où seules quelques lumières artificielles subsistent. Depuis l’espace, la Terre apparaît telle qu’elle serait après une longue période d’obscurité, tandis qu’à l’horizon, une lueur fragile évoque notre étoile mourante.

Si un astéroïde n’avait pas frappé la Terre, il y 66 millions d’années?

Il y a 66 millions d’années, un astéroïde s’est écrasé sur Terre, provoquant l’extinction de la majorité des espèces animales et végétales. Ce cataclysme a laissé le champ libre aux survivants, permettant aux mammifères de prospérer et d’évoluer jusqu’à dominer le monde.

Mais imaginons un instant que cet événement ait été évité… À quoi ressemblerait notre planète aujourd’hui ? Quelles formes de vie auraient émergé à la place des mammifères ? Comment auraient évolué les créatures du Crétacé dans un monde où les dinosaures n’auraient jamais disparu ?

Dans Le Monde qui n’a pas changé, un scientifique crée une intelligence artificielle révolutionnaire. Sans le vouloir, celle-ci génère une réalité alternative où l’astéroïde n’a jamais frappé la Terre. Projeté dans cet univers parallèle, il découvre un monde étrange, peuplé d’espèces qui n’auraient jamais dû exister. Mais cette nouvelle réalité cache bien des mystères… et il devra comprendre ce qui s’est réellement passé.