À la suite d’une onde gravitationnelle, la Terre s’immobilise sur son axe. Ce phénomène entraîne une séparation brutale du globe : un hémisphère baigne en permanence dans la lumière du Soleil, tandis que l’autre reste plongé dans une obscurité totale. Les jours disparaissent.
D’abord, les populations réagissent avec incompréhension. Puis, progressivement, l’inquiétude s’installe, laissant place à l’effondrement des structures sociales.
John Beeward, un scientifique, avait envisagé un tel scénario. Il vit dans l’une des zones de transition, cette mince bande située entre la lumière et l’obscurité, où les conditions sont susceptibles de rester supportables. Mais il sait que cette stabilité ne durera pas, et que l’aggravation des tensions sociales est inévitable.
Il doit partir au plus vite, avant que le chaos ne rende toute fuite impossible. Accompagné de ses proches, il entreprend un long voyage vers un lieu plus sur. Mais le chemin est incertain, ponctué d’obstacles imprévisibles et de menaces constantes.
Cet ouvrage, intitulé Le dernier mouvement : chronique d’une Terre figée, explore les conséquences de l’arrêt de la rotation terrestre. À la croisée de la science-fiction et du récit de survie, il examine les impacts physiques, sociaux et humains d’un bouleversement planétaire sans précédent.
